au Théâtre Auditorium de Poitiers

  à 20 h

 

Jeudi 13 novembre 2025

 

 

Il n'y a pas de Ajar

 

de Delphine Horvilleur

                        mise en scène Johanna Nizard et Arnaud Algigé

 

20 h au Tap

Durée : 1 h 25

 

 

Mise en scène

Johanna Nizard & Arnaud Aldigé

 

Avec

Johanna Nizard

 

Production

En votre compagnie

Coproduction

Théâtre Montansier-Versailles, Théâtre Romain Rolland-Villejuif, Les Plateaux Sauvages, Communauté d’Agglomération Mont St Michel, Comédie Picardie,

Soutiens

Plateaux Sauvages 909- espace de transmission et de production artistique.

Fond SACD,

Ministère de la Culture, la DRAC Ile de France.

ADAM 

 

Spectacle nommé aux Molières 2024 catégorie Seule en scène

 

Création

19.09.2022 aux Plateaux sauvages Paris

 

Monologue contre l’identité

 

 

L’humour est une supériorité de l’homme sur ce qui lui arrive

Romain Gary

 

C’est la savoureuse histoire d’Abraham Ajar. Ce personnage sans âge se dit le fils d’Émile Ajar, écrivain fictif inventé par Romain Gary qui reçut en 1975 un impensable second prix Goncourt pour La vie devant soi.

.

« Tandis que nous étouffons sous les assignations communautaires, les obsessions identitaires et tout ce qui nous enferme avec « les nôtres », il m’est soudain apparu qu’un homme détenait une clé pour nous faire penser. Cet homme s’appelle Ajar. J’ai imaginé que cet homme/fiction littéraire avait donné naissance à un être qui nous parle aujourd’hui de politique et de religion, de la force de la littérature ou de la vulnérabilité de nos narcissismes. » D. Horvilleur

 

Extraits de presse

. Un texte fort, une interprétation magistrale. Inspirées par Romain Gary, Delphine Horvilleur et Johanna Nizard créent leur propre entourloupe littéraire, incisive et hilarante. Sous-titrée « Monologue contre l’identité », la pièce interroge passionnément. La Terrasse

. Ce qui est mené ici dans ce texte coup de poing, c’est un combat contre tous ces commissaires politiques ou religieux qui cherchent à nous étouffer, veulent à tout prix nous assigner à résidence à notre case départ, nous enfermer dans notre chacun chez soi, notre tribu, notre posture de victime ou d’assiégé, et adieu la culture, l’intelligence, l’invention, l’humour, la liberté. Voilà un seul en scène exceptionnel. Et inoubliable. Canard Enchaîné

. Un spectacle brillant et bourré d’humour pour refuser l’enfermement dans les obsessions identitaires, rappeler que chacun a de multiples appartenances et appeler à la fraternité. Snesfsu

. On est rarement en présence d’un objet théâtral aussi étincelant d’intelligence, conçu et concrétisé haut la main par une conjuration de talents en tous domaines de la scène. L’Humanité

 

 

 

 

 

Crédit photos Pauline Le Goff